Il s'agit de la protection du droit à l'image des prévenus. Nous savons comme il est porté atteinte à la présomption d'innocence, alors même que, sans être un prévenu, on peut avoir quelques images dans un journal de vingt heures. Il est donc absolument important qu'un prévenu – qui n'est que prévenu – puisse bénéficier du droit à l'image et que la protection de ce droit puisse être assurée lorsqu'il est incarcéré.