…et privé l'AFITF, l'Agence de financement des infrastructures de transport de France, de toute possibilité de devenir un vecteur pérenne d'investissements.
Sans revenir sur ce funeste choix idéologique, comment ne pas se souvenir des conditions de cession avantageuses pour les acquéreurs de ce véritable bien national ? À telle enseigne que, quelque temps après, M. Antoine Zacharias avait poussé le cynisme jusqu'à justifier le versement de ses primes exorbitantes par la qualité de la négociation menée lors de l'acquisition des parts de sociétés autoroutières au profit de son groupe.