Il s'agit d'élargir la possibilité des contrats de partenariat signés par RFF – lesquels sont aujourd'hui réservés aux seules infrastructures ferroviaires d'intérêt national ou international – à toutes les infrastructures qui contribuent au développement, à l'aménagement et à la mise en valeur du réseau ferré national. Une telle liberté permettrait notamment, si les circonstances se présentent, des investissements liés au développement du trafic de fret ou de celui du transport de proximité.