a remarqué que le président de la commission des lois, Jean-Luc Warsmann, s'est battu pendant cinq ans pour qu'on assure un suivi des lois. Elle l'a soutenu, pour avoir été justement confrontée au fait qu'une loi était à peine votée qu'on en revotait une autre. S'agissant des violences, c'est un peu la même chose, mais, en l'occurrence, Mme Laigo peut se considérer comme étant déjà à moitié satisfaite.