s'est inquiété de la mise en pratique des propositions et de leurs conséquences. Ainsi, toute l'argumentation en faveur de la libéralisation du commerce de grande distribution et de la suppression des lois Royer, Raffarin et Galland repose sur un postulat de baisse des prix et de création d'emplois. Or ce n'est pas la grande distribution qui créé des emplois, mais les enseignes de centre-ville. Une telle libéralisation risque de déboucher sur des monopoles, contre lesquels les commerces de centre-ville ne pourront pas lutter, malgré les subventions issues du transfert des fonds de la TACA, normalement affectés, du reste, au traitement des déchets animaux dans les abattoirs.