a salué à son tour M. Jacques Attali et les imminentes personnalités qui composent la commission pour la libération de la croissance, se félicitant de la place importante des sujets maritimes dans le texte du rapport, avant de souligner la nécessité de faire gagner des parts de marché aux ports français. Après avoir longtemps investi sur la terre, la France doit investir sur la mer, moteur de croissance exceptionnel : 10 % par an depuis dix ans. La France a le deuxième domaine maritime mondial ; elle est présente sur tous les océans du monde.
Comment rétablir par ailleurs la confiance des Français dans l'avenir. La France a de précieux atouts mais, disait M. José Manuel Barroso, président de la Commission européenne, elle est un malade imaginaire.