a indiqué qu'elle a fait partie du conseil national des programmes qui a travaillé jusqu'en 2005, et, en son sein, a essayé de faire en sorte que l'on parle plus des femmes dans les programmes d'histoire. Le résultat a été limité en raison de la multiplicité des problèmes à régler. Cela étant, quand étaient examinées les statistiques de l'enseignement professionnel, on s'apercevait alors que l'orientation était très sexuée, avec des filles majoritairement en BTS de secrétariat alors qu'il n'y en avait aucune dans les milieux industriels.
Ségolène Royal, en tant que ministre déléguée à l'enseignement scolaire, avait demandé que le conseil fasse des propositions pour que les femmes soient davantage prises en compte dans les programmes.