À Charleville-Mézières aussi, une mosquée va être construite et le projet comporte une partie cultuelle et une partie culturelle. Les pratiquants musulmans veulent obtenir un financement public sur la deuxième. Or dès lors qu'il y a financement public, les lieux relèvent de l'espace public et non plus privé. Les maires sont-ils en attente de règles conditionnant un tel financement public, comme par exemple l'égal accès de tous les citoyens à ces espaces ?