Paul Bert disait : « Nous sommes dans le domaine de la conscience, au seuil duquel s'arrête la loi de la majorité ».
Je suis tout à fait hostile, bien sûr, aux piscines islamiques.
La question des converties est gravissime. Lorsque j'interviens dans des réunions publiques, c'est le converti qui va s'exprimer et s'opposer à mes arguments et pas le barbu qui l'accompagne ; il en est de même pour les femmes voilées. Cette mise en avant des convertis est en réalité une stratégie de prise de pouvoir ; il n'est plus possible de se contenter de débattre pour convaincre.