Élu d'une circonscription où la filière automobile emploie plus de 3 000 personnes, je mesure bien l'importance de votre activité pour nos territoires, ainsi que les difficultés auxquelles les sous-traitants sont aujourd'hui exposés. Ceux-ci craignent d'être considérés comme une simple variable d'ajustement par les constructeurs et ils manquent également de perspectives. Comment pouvez-vous les associer à vos choix technologiques afin de mieux préparer les mutations industrielles en cours ?