Nous intervenons dans un parcours fléché, qui ne reflète pas le nombre réel de personnes victimes de ce type de violences. Mais, en ce qui concerne en le département du Val-de-Marne, tous les intervenants peuvent nous contacter en cas de suspicion de maltraitance : les travailleurs sociaux comme les différents acteurs de l'éducation nationale – tels que les médecins scolaires et les infirmières – ou de l'hôpital. Lorsque, par exemple, des personnes viennent consulter dans des services d'obstétrique ou de gynécologie à la suite de violences conjugales dont elles ne parlent pas, nous sommes disponibles pour être à l'écoute des personnels, même si cela ne fait pas partie de notre travail stricto sensu.