Vous n'avez pas parlé, monsieur le président, de la viticulture. Quelle est la position de la FNSEA sur les droits de plantation ? On annonce des aides à l'arrachage dans les régions en forte crise et une libéralisation des droits de plantation dans les zones où il y a une bonne tenue de la production. La région de Cognac est très inquiète. Une vigne commence à donner quatre ans après sa plantation : on peut décider de la planter à un moment où les marchés se tiennent puis se retrouver, au moment où elle commence à produire, dans une période où les marchés sont tombés. La libéralisation des droits de plantation est une vraie folie pour nous. La FNSEA a-t-elle une réflexion sur cette question ?