Madame la garde des sceaux, monsieur le secrétaire d'État, monsieur le rapporteur, j'attire votre attention sur le fait qu'il serait dommage qu'on ne tienne pas compte de ce que viennent de dire Gilles Carrez et Didier Migaud, et que l'on ne préserve pas le consensus construit au sein de la commission des finances – ce que nous parvenons parfois à faire, Pierre Méhaignerie le sait bien. La raison voudrait donc que M. le rapporteur retire son amendement. Il ne s'agit pas d'imposer la loi d'airain de la commission des finances, mais de respecter le travail que nous avons accompli et l'esprit qui nous a animés.