…ne nous rappelle l'absolue nécessité de maîtriser mieux la dépense publique. Il donne deux puissants arguments à l'appui de ses dires : qu'on ne restaurera pas la confiance dans l'avenir du pays si les finances publiques ne sont pas rétablies, et qu'il n'y a pas de solidarité possible si nous faisons supporter aux générations futures le poids d'un endettement aussi élevé.
Je comprends les arguments de Jean-Luc Warsmann, sur lesquels nous reviendrons. Cependant, je voudrais que l'on mesure bien, dans les projets à venir, l'avalanche – je pèse mes mots – de nouvelles déductions fiscales ou de réductions de cotisations sociales : qu'il s'agisse du logement, de la culture ou de l'environnement, de nombreuses baisses de recettes supplémentaires sont projetées.