Les accusations vont peut-être choquer, mais elles sont graves et elles nécessitent que notre assemblée soit éclairée.
Lorsqu'un présentateur d'une grande chaîne de télévision annonce que son licenciement n'est pas lié à un choix de son entreprise, mais qu'on « a eu sa tête », lorsque dans certaines rédactions des journalistes annoncent qu'ils sont sur une liste et qu'on a décidé, dans le cadre d'une restructuration, « d'avoir leur tête »...