Persuadés, comme M. Morange, de la nécessité de clarifier un dispositif opaque, nous proposons de mettre fin aux remises quantitatives et de leur substituer un mécanisme unique de baisse de prix. Alors que le montant des remises a quadruplé depuis 2002, l'ONDAM n'a cessé d'être dépassé, ce qui montre que le prix des médicaments n'est pas maîtrisé. De plus, tel qu'il fonctionne, ce système met le comité économique des produits de santé (CEPS) dans une situation inconfortable.