Nous avions déjà évoqué ce point avec nos interlocuteurs de la Direction des affaires criminelles et des grâces. Il m'avait semblé comprendre, lors d'une réunion en mars 2008, que l'un des objectifs de ce texte était de revenir sur la capacité d'un officier de police judiciaire de procéder à ce blocage dans le cadre de la flagrance et de la commission rogatoire.