Il est impératif de ne pas rater le coche. Nos facultés ne sont effectivement pas prêtes et ne disposent pas, notamment, des moyens de visioconférence dont il a été question. En outre, on n'a pas le droit de surprendre les jeunes, en modifiant l'organisation des études de santé alors qu'ils auront déjà commencé leur préinscription. C'est pourquoi je suis favorable à l'amendement de Mme Fraysse.