Vous avez été directeur de l'administration générale au ministère de la culture, directeur de la Bibliothèque nationale de France, président du Conseil supérieur de la propriété littéraire et artistique (CSPLA), président du Comité d'orientation du Fonds de modernisation de la presse quotidienne, président du conseil d'administration de la Réunion des Musées nationaux. Votre parcours fait de vous plus un spécialiste de la culture que des télécommunications. L'ARCEP a été outrageusement silencieuse lors de l'examen du projet de loi « création et Internet ». Comment envisagez-vous votre fonction de directeur de l'ARCEP face au secteur des télécommunications ?
Je ne voudrais pas que l'ARCEP devienne un ministère de la culture bis !