a rappelé que, au moment du vote de la loi de 2006, la délégation avait demandé davantage de moyens pour les inspecteurs du travail ainsi que pour les déléguées aux droits des femmes. Si des inspecteurs du travail motivés peuvent contrôler les rapports de situation comparée, l'évaluation de la politique des entreprises en termes d'égalité professionnelle sera rendue possible. De même, les déléguées aux droits des femmes sont un appui pour résoudre des situations difficiles, mais elles sont chargées de multiples tâches, devant effectuer des interventions dans de nombreux domaines, outre l'application des lois relatives à l'égalité professionnelle. Trop souvent aussi les préfets ne mettent pas suffisamment en valeur le rôle de ces déléguées.