La partie de l'activité civile touchée par la crise est l'aéronautique civile, soit environ 10 % de notre chiffre d'affaires. Pour 10 % autres, on sent un ralentissement pour les systèmes de supervision dans le domaine du pétrole et de diverses industries. Les opérateurs de satellites civils pour lesquels nous travaillons ont également des difficultés à trouver des financements, ce qui a pour effet de décaler les projets dans le temps. Les 30 % restants – transports ferroviaires, commandes des collectivités locales, etc. – ne sont pas touchés. Au total, nous considérons donc que 20 % environ de notre chiffre d'affaires est actuellement dans une dynamique moins porteuse.
Si nous en venons à être confrontés à des problèmes de charge ici ou là, nous étudierons bien entendu la possibilité de faire jouer l'entraide, à condition que les métiers correspondent. Certains secteurs peuvent connaître une surchauffe, d'autres une sous-charge ; si des rééquilibrages sont possibles, il va de soi que nous les ferons.