À Versailles, le Président de la République a annoncé le lancement d'un grand emprunt qui, selon lui et le Premier ministre, devrait être essentiellement consacré aux technologies d'avenir. Comment un groupe qui emploie 34 000 personnes en France et consacre 20 % de son chiffre d'affaires à la recherche & développement réagit-il à la perspective de cet emprunt, dont le montant n'est pas fixé, mais qui pourrait être de l'ordre de 50 milliards d'euros pour un deuxième plan de relance ? Dans quels domaines particuliers de ces technologies du futur pensez-vous être en mesure d'aller de l'avant ?
Par ailleurs, Thales a beaucoup travaillé en Grande-Bretagne sur le projet de deuxième porte-avions et sur les porte-avions britanniques. Le projet de porte-avions français marquant le pas, quelles sont les perspectives de réalisation des porte-avions anglais ou de synergies permettant de ne rien perdre du travail accompli ?