Vous est-il possible, comme vous le faites dans les lieux de garde à vue, d'opérer des visites inopinées dans les lieux de détention temporaire, dits « souricières », des palais de justice ?
En ce qui concerne les relations avec les familles, vous indiquez dans votre rapport que lorsqu'il y a transfèrement, hospitalisation, voire décès, les familles ne sont pas prévenues. Il ne s'agit pas là d'un problème de moyens financiers. Quelles sont vos préconisations dans ce domaine ?
Enfin, l'augmentation des suicides dans le carcéral est-elle parallèle à celle que l'on constate dans la population générale, ou est-ce un phénomène spécifique ?