Les écrivains n'ont aucune prise sur la mécanique économique. Ils constatent qu'aujourd'hui, leurs livres sont en librairie et que les libraires les conseillent à leurs clients. Le prix unique leur va très bien. Vous trouverez peut-être notre position vieillotte ou ringarde, monsieur Dionis du Séjour, elle est tout simplement humaine. S'agissant du numérique, vous avez raison, mais la Société des gens de lettres s'intéresse aussi à la numérisation, qui est un autre sujet. Il n'y a pas que la vente en ligne.