Pour répondre à M. Dionis du Séjour, il faut rappeler qu'en 1952, lorsque la pièce En attendant Godot est parue, l'édition n'était pas ce qu'elle est devenue aujourd'hui : il s'agissait davantage d'une activité que d'une industrie. Dans le contexte éditorial contemporain, je ne suis pas sûr que le livre aurait vu le jour si le prix fixe n'existait pas.