Je peux comprendre l'existence d'une exception culturelle s'agissant du livre. Le Parlement se doit cependant de faire écho aux interrogations des Français : pourquoi le prix unique ne s'appliquerait-il pas à d'autres secteurs – ceux de la tomate ou du pruneau, par exemple, chers à Hervé Gaymard et à Jean Dionis du Séjour – et n'existerait-il pas des tentations de marge arrière dans les secteurs qui vendent mille fois plus que le libraire d'Yvetot ou de Vitré ?