Il est très difficile de connaître les sentences arbitrales car elles sont confidentielles. Celle-ci ne l'étant pas, il apparaît que la motivation du préjudice moral est particulièrement lapidaire puisqu'elle tient en deux pages dont l'une est consacrée à la recevabilité de l'action en la matière. Une page pour 45 millions d'euros : je reconnais que ce n'est pas ce que j'ai l'habitude de voir…