Par ailleurs, s'agissant de STX, fallait-il que l'État reste inerte alors que l'entreprise subit un effondrement de ses commandes et que ses 5 000 ouvriers s'interrogent sur ce qui va advenir d'eux dans les six mois qui viennent ? DCNS, rappelons-le, a pour sa part enregistré des commandes d'une valeur 9,5 milliards d'euros. Nous avons donc fait le choix d'avancer la date de la commande d'un troisième bâtiment de projection et de commandement afin d'assurer à STX 30 % des commandes nécessaires pour le maintien de l'emploi à Saint-Nazaire.