Ma question porte sur le même point. S'il y a un débat dans l'hémicycle, celui-ci portera en effet sur le montage de l'opération : pourquoi l'Etat n'est-il pas seul à agir ? Pourquoi faire intervenir une société intermédiaire, ce qui suscite immédiatement des doutes sur la transparence de cette opération pour les comptes publics ? Il est dommage que de tels aspects viennent entacher une bonne décision, qui renforce l'organisation des institutions de la francophonie à Paris.