a souligné qu'il n'était pas non plus favorable, à titre personnel, à l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne, mais que le débat constitutionnel était d'un autre ordre et que la solution proposée par l'amendement avait l'inconvénient majeur de viser spécialement cet État. Il a donc suggéré d'adopter une attitude plus réfléchie au regard des relations internationales, en maintenant sur ce point le texte impartial proposé par le Gouvernement.