a considéré, en se référant aux tribuns romains sous l'Antiquité et au Parlement britannique à l'époque moderne, que les résolutions proposées constitueraient un faux cadeau pour le Parlement, compte tenu de leur fonction purement tribunitienne. Il a estimé que le renforcement du Parlement supposerait plutôt qu'il soit à l'initiative de la moitié des lois examinées, alors que les propositions de lois s'apparentent aujourd'hui, bien souvent, à de simples « gadgets ».