s'est inquiété du risque de confusion résultant de la multiplication d'études sur le même sujet réalisées par des organismes différents. Il a ainsi cité le travail sur les ondes mené conjointement par l'Académie des technologies et l'Académie de médecine ainsi que la saisine de l'Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement par le ministère de la santé sur le spectre total. Puis il s'est étonné de l'absence d'études épidémiologiques françaises sur les effets des lignes à haute tension et s'est interrogé sur la pertinence de certaines méthodes épidémiologiques. Il a également évoqué le débat actuel sur la crédibilité des experts et a affirmé qu'on ne pouvait reprocher aux experts d'avoir travaillé avec des entreprises dans la mesure où, pour devenir expert, il faut avoir occupé des fonctions opérationnelles.