a souhaité connaître la position de la ministre sur le plan du Président José Manuel Barroso relatif à l'aide à l'agriculture aux pays pauvres. En matière de viticulture, il a estimé que le problème relève principalement de la politique nationale du ministère du commerce extérieur, car la France a de vraies difficultés à pénétrer les marchés extérieurs qui se développent. Il ne faut pas se replier sur les appellations d'origine et la qualité mais s'ouvrir à une démarche nouvelle afin de développer une force de frappe centrée sur ces marchés émergents.
Il a également souhaité connaître l'impact réel de la parité euro-dollar sur les difficultés du commerce extérieur et se demande si elle n'est pas, en fait, un argument pour cacher nos faiblesses.