Comme vous le savez, l'Institut de France dépend, non du ministère des finances, mais de celui de M. Darcos. Je suis certain que la coopération entre les deux institutions et la signature d'un bail emphytéotique constituent la meilleure solution. De plus, la présence d'un représentant de l'Agence des participations de l'État au conseil d'administration de la Monnaie de Paris est de nature à rassurer les personnels qui s'inquièteraient.