J'ai eu connaissance des courriers ministériels échangés à ce sujet, et il me paraît que la réflexion devrait être approfondie. En effet, l'Institut de France affecterait la parcelle de l'an IV à un centre d'accueil dont la création est fort coûteuse. Au moment où l'on entend réduire la dépense publique à toute force, il serait intéressant de relire le rapport que l'Inspection des finances, sous la plume de M. Tordjman, a consacré à ce projet, d'autant que le déplacement des presses installées sur la parcelle de l'an IV, qui pèsent plusieurs tonnes, ne sera pas chose aisée. Enfin, la durée prévue du bail – cinq ans, reconductible trois fois un an – est bien courte pour prévoir des investissements significatifs.