Je mesure la nécessité de confier à l'UESL, constituée de partenaires sociaux, des responsabilités autres que celle d'assurer le financement des actions publiques. C'est bien la loi cependant qui disposait, s'agissant de l'ANRU, que c'est l'État qui intervenait financièrement. À partir du moment où il y a un transfert de financement de l'action publique, il est impossible que ceux qui collectent au nom des salariés et des employeurs ne soient pas aussi en situation d'assumer une responsabilité dans le processus. Il faut vraiment maintenir le tissu partenarial.