s'est interrogée sur la façon dont la Délégation pouvait être en mesure de peser sur les décisions qui vont être prises. La France ne respecte pas de nombreuses conventions internationales qu'elle a pourtant signées et l'on peut regretter que la société française n'ait pas encore suffisamment évolué. Elle ne s'est pas adaptée à la situation nouvelle des femmes en termes de diplômes et d'activité professionnelle mais aussi en termes de représentation politique. Elle a ensuite vivement regretté l'absence d'un ministère chargé du droit des femmes et a demandé à ce que la Délégation soit reçue par le Président de la République sur la nécessité de l'adoption d'une loi cadre sur les violences.