a précisé qu'il avait créé, en Picardie, à titre expérimental un Groupement d'Intérêt Public : « violences et santé » afin de prendre en charge les sévices en liaison avec le Conseil général et en établissant des contacts entre la prise en charge hospitalière de la phase aigue de ces phénomènes et leur prise en charge sur le long terme. Demeure le problème de la couverture par la sécurité sociale des troubles psychologiques résultant de ces violences.