Les Français ont été les premiers à mettre en place le dispositif CAP qui est copié par la Nouvelle-Zélande, Singapour, le Portugal, le Danemark, le Canada, ainsi que – c'est une première – par la Grande-Bretagne. Nous avons fait preuve d'une réactivité extraordinaire. Mais les grands débats d'idées ont pris le dessus et CAP n'a pas été porté sur les fonds baptismaux comme il aurait dû, si bien qu'il reste largement méconnu.
En ce qui concerne CAP +, c'est la même chose. La communication est un enjeu considérable et il nous faut le soutien effectif du Médiateur du crédit et des fédérations professionnelles. Tout le monde doit aller dans le même sens.