Entre les anciens combattants et les enseignants, la coopération se double d'une certaine méfiance réciproque. Les anciens combattants se plaignent souvent des manuels d'histoire. Il faudrait organiser des réunions pour faire comprendre aux anciens combattants les difficultés et les hésitations des enseignants et, inversement, pour que les enseignants saisissent l'utilité d'inviter des anciens combattants dans leurs classes, à condition, évidemment, que le témoignage de ceux-ci soit de bonne qualité. La coopération est indispensable. Avec les médias, c'est pareil : il faut leur présenter des sujets attirants et des dossiers de presse attrayants.