On ne peut en effet se soustraire à l'étude d'une mémoire à la fois commune et différente, la mémoire européenne. À certains moments, les cultures se sont complètement confondues, à d'autres elles se sont entièrement séparées. Ce qui a empoisonné la recherche historique et la mémoire, c'est la mémoire partiale, non objective. Or la mémoire européenne doit à tout prix être objective, sérieuse et réfléchie car elle est encore plus compliquée que la mémoire de la France.
Dans cet ordre d'idées, il me semble qu'il faudrait que l'on communique les programmes au Parlement afin que celui-ci puisse à tout le moins signaler ce qui ne lui semblerait pas raisonnable.