En ce qui concerne la rationalisation, la baisse des crédits n'affecte en rien la capacité d'intervention de l'État, mais en renforce l'efficience, dans le cadre de la révision générale des politiques publiques. La réorganisation tend à diminuer le coût des structures, avec la fusion, au sein de l'administration centrale, des deux directions supports du ministère, et, dans les services déconcentrés, la création de directions régionales de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale et de directions départementales de la cohésion sociale.