Mais comment allez-vous garantir, contrôler que les orientations de ces banques vont d'abord privilégier l'économie réelle ?
Je suis de ceux qui croient que l'effort ne sera pas à la mesure des nécessités et qu'elles reconstitueront et gonfleront leurs propres fonds.
Votre budget, dont chacun sait dès aujourd'hui que son socle est mouvant et qu'il le sera tout au long de la discussion ici, puis au Sénat, et encore demain, ne donne aucun signe annonciateur de redressement pour notre économie. La crise va s'aggraver, nous n'allons pas tarder à en ressentir les conséquences sociales.
Vous nous avez indiqué que les impôts ne bougeraient pas...