Les décisions sont exécutoires et doivent être appliquées sauf, selon les principes généraux du droit, cas de force majeure. Pour autant, le juge appréciera s'il peut ou non prononcer une suspension de l'accès internet. S'il ne le peut pas et s'il le juge utile, il prononcera alors une autre peine.
La Commission rejette successivement les deux amendements.
Elle est ensuite saisie de l'amendement AC 54 de M. Patrick Bloche.