Nous essayons de promouvoir ce dernier point depuis le G 20 mais les premières réticences commencent à apparaître. Le provisionnement dynamique, dans la phase de boom, aboutit à ne pas distribuer les profits, à mettre de côté les survaleurs de marché et d'actifs qui ne sont pas encore vendus et à conserver une partie des bénéfices pour provisionner des pertes futures que l'on ne verra que dans le bas du cycle. C'est donc une très bonne technique, que les Espagnols ont utilisée pour les crédits bancaires classiques, par exemple. Mais si l'on rogne le résultat, on rogne aussi les bonus et, au premier signe d'embellie, les réticences se manifestent ! Le combat va être ardu, mais il est essentiel.