Le collatéral disponible à Paris était supérieur au montant du risque et chaque fois que la qualité d'AIG se dégradait, cela déclenchait de nouveaux versements de collatéral. Les banques françaises n'étaient de ce fait pas en risque. C'est d'ailleurs pour cela que les Américains ont repris à la fois la garantie et les actifs garantis.