On peut aussi se poser la question en matière de cancérologie.
Nous nous demandons déjà comment faire en sorte que des malades ayant subi des pathologies graves telles que cancers, affections cardiovasculaires ou par le VIH ne soient pas par la suite, pénalisés dans l'accès au logement, à l'assurance ou à l'emprunt. Cela passe par une réflexion sur la notion de guérison, qu'il serait logique de relier à la question de la sortie de l'ALD.
C'est donc sur l'entrée et la sortie de l'ALD que nous devons nous concentrer.