Monsieur le secrétaire d'État, vous avez évoqué le plan d'aide à l'industrie automobile, qui comporte des mesures d'accompagnement pour l'ensemble de la filière. Dans ma circonscription est implanté le leader national de la fonderie en aluminium et magnésium – dont le directeur a d'ailleurs participé au Comité stratégique pour l'avenir de l'automobile. Cette entreprise ambitionnait d'installer sur son site un centre de recherche, mais ce projet risque d'être ajourné. Pourriez-vous préciser les mesures d'accompagnement prévues en faveur des équipementiers automobiles, notamment en matière de recherche et de développement ?
Par ailleurs, comme l'a souligné François Brottes, on va aider dans le cadre du plan des constructeurs qui risquent de faire appel à des sous-traitants étrangers. Quelles mesures comptez-vous prendre pour les en empêcher ?
Enfin, en matière de formation professionnelle, 160 millions d'euros ont été débloqués pour accompagner les salariés en chômage partiel. Des mesures spécifiques ont-elles été prévues pour la filière automobile ?