Il ne me semble pas judicieux de traiter différemment résidences principales et secondaires. D'une part, les résidences secondaires sont souvent les plus mal isolées et donc les plus consommatrices d'énergie, d'autant que, n'étant pas utilisées toute l'année, leur chauffage est plus difficile à gérer. D'autre part, pourquoi des personnes qui se trouvent « délocalisées » de force et se trouvent parfois posséder résidence secondaire au sens fiscal, comme certains militaires ou certains enseignants, ou bien encore ce que l'on appelle les « célibataires géographiques » seraient-ils pénalisés ?