Comme toutes les réglementations concernant l'environnement, ce texte contient quelques incohérences. Une fois n'est pas coutume, j'approuve l'amendement de M. Jean-Yves Le Déaut visant à résorber les friches industrielles et urbaines. Je ne doute pas un seul instant de la bonne volonté du ministère de l'écologie, mais il se trouve que ma commune dispose de 340 hectares de friches industrielles de Charbonnages de France ; or il est très difficile de les utiliser en raison des études d'impact qui nous sont imposées – elles révèlent souvent la présence sur le site d'espèces protégées. Pour développer l'utilisation des friches industrielles, il est nécessaire d'alléger les contraintes administratives.